Biodiversity

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F. Gosselin - One of the best experts on this subject based on the ideXlab platform.

  • Suivre l'état de la biodiversité forestière: pourquoi ? Comment ?
    Revue forestière française, 2012
    Co-Authors: F. Gosselin, Marion Gosselin, Y. Paillet
    Abstract:

    Le système actuel de critères et indicateurs de gestion forestière durable informe de façon très indirecte sur l'état de la biodiversité puisqu'il incorpore très peu d'indicateurs issus de suivis de biodiversité. Nous justifions en cinq points l'utilité de tels suivis dans le cadre de l'évaluation de la gestion forestière durable. Nous proposons ensuite des critères pour le choix des taxons à suivre, en fonction des objectifs du suivi. Enfin, nous insistons sur une sélection de points techniques primordiaux pour l'étape de mise en place du suivi : le plan d'échantillonnage ; le choix de placettes permanentes ou non ; le compromis entre réplication spatiale et réplication temporelle des points ; la réflexion sur les variables écologiques à relever en parallèle de la biodiversité ciblée. Ces réflexions s'appuient sur quelques exemples de suivis directs de biodiversité interspécifique forestière, en France et à l'étranger. La mise en place de tels suivis devrait permettre de mieux interpréter les indicateurs de pression et réponse et de proposer de nouveaux indicateurs d'état de la biodiversité, dans le cadre des indicateurs de gestion forestière durable. / The current system of criteria and indicators for sustainable forest management provides very indirect information about the state of Biodiversity as it includes very few indicators for Biodiversity monitoring. Five arguments are provided in support of such monitoring for the purposes of evaluating sustainable forest management. Criteria for choosing the taxons to monitor based on the monitoring goals are proposed. Finally, emphasis is placed on a number of crucial technical points relating to how the monitoring system is set up: sampling plan, choice of permanent or non-permanent plots, the compromise between spatial and temporal replication of the points, thoughts on the ecological variables to be recorded alongside the targeted Biodiversity. These reflections are based on a number of examples of direct monitoring of interspecific forest Biodiversity in France and abroad. Implementing monitoring systems of this type should help improve interpretation of pressure and response indicators and in devising new indicators for the state of Biodiversity in the context of sustainable forest management indicators.

  • Improving Biodiversity indicators of sustainable forest management: Tree genus abundance rather than tree genus richness and dominance for understory vegetation in French lowland oak hornbeam forests
    Forest Ecology and Management, 2009
    Co-Authors: S. Barbier, L. Berges, R. Chevalier, P. Loussot, F. Gosselin
    Abstract:

    Deux indicateurs de biodiversité associés à la diversité du peuplement arboré sont utilisés en France et en Europe, en l'absence de validation scientifique forte: (1) la richesse en essences ou en genres d'essences, comme un indicateur positif; et (2) l'abondance relative de l'essence dominante ("dominance") comme un indicateur négatif. Nous avons testé le caractère indicateur de ces indicateurs vis-à-vis de la biodiversité floristique du sous-bois, en les comparant à d'autres modèles écologiques, principalement associés à la composition et l'abondance des essences. Nous avons utilisé des modèles statistiques Bayésiens des données d'abondance et de richesse de groupes écologiques, définis sur la base du statut successionnel des espèces ou de leur tolérance à l'ombrage. Les distributions de probabilités utilisées dans les modèles sont nouvelles en écologie. Nous avons étudié la magnitude des effets avec des tests d'équivalence. 49 placettes adultes situées dans la région IFN de la Brie Francilienne ont été étudiées. Sur notre jeu de données, les indicateurs basés sur la richesse en genres ou la dominance étaient plus mauvais que les indicateurs basés sur l'abondance des genres d'essences. La magnitude des effets et l'identité du meilleur modèle indicateur variaient d'un groupe écologique à l'autre. Nos résultats montrent par ailleurs l'influence négative de la surface terrière des essences de demi-ombre sur le recouvrement de tous les groupes écologiques d'herbacées et de ligneux et sur la richesse des groupes non-forestiers et péri-forestiers de ligneux et d'herbacées. Comparé aux études du même genre, notre échantillonnage contrôlait fortement le type de station, éliminant ainsi partiellement la confusion potentielle entre les influences de la gestion et du type de station sur la biodiversité. / Two different Biodiversity indicators based on tree species diversity are being used, in Europe and France respectively, without strong prior scientific validation: (1) tree species or genus richness as a positive indicator, and (2) relative abundance of the main species (dominance') as a negative indicator. We tested the relevance of these ecological models as indicators of understory vegetation Biodiversity by comparing them to other ecological models, mainly related to tree species composition and abundance. We developed Bayesian statistical models for richness and abundance of ecological groups of understory vegetation species, classified according to successional status or shade tolerance. The count data probability distributions in the models were new to ecology. These models were fitted using data from 49 plots in mature lowland forests in the center of France (Bassin Parisien) with similar site conditions. We used equivalence and inequivalence tests to detect negligible and non-negligible effects. Tree genus richness and dominance resulted in models that were worse than ones based on the abundance of tree genus groups. Furthermore, the only significant results for dominance and tree genus richness were opposite to the ones implicitly assumed in the indicator system. However, the magnitude of the effects and which indicator provided the best statistical model varied among ecological groups of plants. Our results show the negative non-negligible effect of the basal area of undergrowth tree species on the cover of all ecological groups of herbaceous and woody species, and on the species richness of non-forest and peri-forest herbaceous and woody species. Compared to the literature, our sampling design strongly controlled forest and site type, thus removing to some degree the potential confusion between influences on Biodiversity of management specific variables and other ecological variables. We discuss our results from both an ecological perspective and in terms of the value of these models as indicators of sustainable management. For example, the best-performing model was a multivariate model, which may be more difficult to explain to forest managers or policy-makers than an indicator simply based on tree genus richness.

  • L'évolution des pratiques d'exploitation forestières pourrait bénéficier " à la biodiversité " : réflexions scientifiques autour du guide de reconstitution de l'ONF, suite à la tempête
    Ingénieries eau-agriculture-territoires, 2003
    Co-Authors: F. Gosselin, C. Bouget
    Abstract:

    L'adaptation de la gestion forestière à la conservation de la biodiversité se traduit notamment par l'évolution des pratiques d'exploitation. Le Guide de reconstitution des forêts de l'ONF (2001) a défini des orientations et conseils d'exploitation des chablis de la tempête de 1999. Nous expliquons pourquoi nous pensons que deux des propositions de ce guide - le maintien de sur-réserves et de houppiers non démembrés - pourraient atténuer les effets délétères des coupes de grande taille sur la biodiversité - et notamment sur les espèces forestières. Nous discutons enfin de l'application éventuelle de ces pratiques dans les exploitations futures. / A conservation based forest management implies the evolution of timber harvesting practices. The ONF Guide for forest reconstruction (2001) defines the harvesting scheme in windstorm areas disturbed in 1999. We explain why we think two of these guidelines, namely, the retention in cutting areas of large old trees and of unharvested tree crowns, could counteract the negative effects of large cuts on Biodiversity - peculiarly on forest species. We finally discuss the potential applications of these guidelines in ordinary forest harvesting.

S. Barbier - One of the best experts on this subject based on the ideXlab platform.

  • Improving Biodiversity indicators of sustainable forest management: Tree genus abundance rather than tree genus richness and dominance for understory vegetation in French lowland oak hornbeam forests
    Forest Ecology and Management, 2009
    Co-Authors: S. Barbier, L. Berges, R. Chevalier, P. Loussot, F. Gosselin
    Abstract:

    Deux indicateurs de biodiversité associés à la diversité du peuplement arboré sont utilisés en France et en Europe, en l'absence de validation scientifique forte: (1) la richesse en essences ou en genres d'essences, comme un indicateur positif; et (2) l'abondance relative de l'essence dominante ("dominance") comme un indicateur négatif. Nous avons testé le caractère indicateur de ces indicateurs vis-à-vis de la biodiversité floristique du sous-bois, en les comparant à d'autres modèles écologiques, principalement associés à la composition et l'abondance des essences. Nous avons utilisé des modèles statistiques Bayésiens des données d'abondance et de richesse de groupes écologiques, définis sur la base du statut successionnel des espèces ou de leur tolérance à l'ombrage. Les distributions de probabilités utilisées dans les modèles sont nouvelles en écologie. Nous avons étudié la magnitude des effets avec des tests d'équivalence. 49 placettes adultes situées dans la région IFN de la Brie Francilienne ont été étudiées. Sur notre jeu de données, les indicateurs basés sur la richesse en genres ou la dominance étaient plus mauvais que les indicateurs basés sur l'abondance des genres d'essences. La magnitude des effets et l'identité du meilleur modèle indicateur variaient d'un groupe écologique à l'autre. Nos résultats montrent par ailleurs l'influence négative de la surface terrière des essences de demi-ombre sur le recouvrement de tous les groupes écologiques d'herbacées et de ligneux et sur la richesse des groupes non-forestiers et péri-forestiers de ligneux et d'herbacées. Comparé aux études du même genre, notre échantillonnage contrôlait fortement le type de station, éliminant ainsi partiellement la confusion potentielle entre les influences de la gestion et du type de station sur la biodiversité. / Two different Biodiversity indicators based on tree species diversity are being used, in Europe and France respectively, without strong prior scientific validation: (1) tree species or genus richness as a positive indicator, and (2) relative abundance of the main species (dominance') as a negative indicator. We tested the relevance of these ecological models as indicators of understory vegetation Biodiversity by comparing them to other ecological models, mainly related to tree species composition and abundance. We developed Bayesian statistical models for richness and abundance of ecological groups of understory vegetation species, classified according to successional status or shade tolerance. The count data probability distributions in the models were new to ecology. These models were fitted using data from 49 plots in mature lowland forests in the center of France (Bassin Parisien) with similar site conditions. We used equivalence and inequivalence tests to detect negligible and non-negligible effects. Tree genus richness and dominance resulted in models that were worse than ones based on the abundance of tree genus groups. Furthermore, the only significant results for dominance and tree genus richness were opposite to the ones implicitly assumed in the indicator system. However, the magnitude of the effects and which indicator provided the best statistical model varied among ecological groups of plants. Our results show the negative non-negligible effect of the basal area of undergrowth tree species on the cover of all ecological groups of herbaceous and woody species, and on the species richness of non-forest and peri-forest herbaceous and woody species. Compared to the literature, our sampling design strongly controlled forest and site type, thus removing to some degree the potential confusion between influences on Biodiversity of management specific variables and other ecological variables. We discuss our results from both an ecological perspective and in terms of the value of these models as indicators of sustainable management. For example, the best-performing model was a multivariate model, which may be more difficult to explain to forest managers or policy-makers than an indicator simply based on tree genus richness.

L. Berges - One of the best experts on this subject based on the ideXlab platform.

  • Corridors écologiques et conservation de la biodiversité, intérêts et limites pour la mise en place de la Trame verte et bleue
    Sciences Eaux & Territoires, 2010
    Co-Authors: L. Berges, P. Roche, C. Avon
    Abstract:

    La fragmentation des habitats naturels est considérée comme l'une des principales causes de perte de biodiversité. La restauration d'une connectivité écologique au travers de l'aménagement de « corridors écologiques » entre les zones d'habitats naturels est une des solutions proposées pour limiter les effets de cette fragmentation. Même s'il reste controversé dans le domaine scientifique, ce concept sert de socle à un des enjeux opérationnel du Grenelle de l'Environnement au travers de la mise en ½uvre de la trame verte et bleue (TVB). Après avoir rappelé les concepts d'écologie qui justifient cet objectif politique et présenté les différents rôles écologiques des corridors, nous présentons un bilan synthétique des avantages et inconvénients. Ensuite, nous insistons sur les difficultés méthodologiques pour mettre en évidence un effet corridor. Enfin, nous encourageons l'instauration d'un partenariat étroit entre recherche et action, pour concevoir des dispositifs d'évaluation et de suivis de la biodiversité dans le cadre des actions entreprises. / Fragmentation of natural habitats is considered one of the main causes of Biodiversity loss. One of the proposed solutions to limit the effects of fragmentation is to restore ecological connectivity by creating ecological corridors between zones containing natural habitats. The concept remains controversial among scientists, but now serves as the basis for one of the operational projects of the Grenelle environmental agreements in the form of the National ecological network. After examining the ecological concepts justifying the political goal and presenting the various ecological roles of corridors, we briefly discuss their overall advantages and disadvantages. Then, we look closely at the methodological difficulties in detecting a corridor effect. Finally, we recommend a close partnership between research and policy to design Biodiversity monitoring and evaluation systems in the different land-management plans.

  • Improving Biodiversity indicators of sustainable forest management: Tree genus abundance rather than tree genus richness and dominance for understory vegetation in French lowland oak hornbeam forests
    Forest Ecology and Management, 2009
    Co-Authors: S. Barbier, L. Berges, R. Chevalier, P. Loussot, F. Gosselin
    Abstract:

    Deux indicateurs de biodiversité associés à la diversité du peuplement arboré sont utilisés en France et en Europe, en l'absence de validation scientifique forte: (1) la richesse en essences ou en genres d'essences, comme un indicateur positif; et (2) l'abondance relative de l'essence dominante ("dominance") comme un indicateur négatif. Nous avons testé le caractère indicateur de ces indicateurs vis-à-vis de la biodiversité floristique du sous-bois, en les comparant à d'autres modèles écologiques, principalement associés à la composition et l'abondance des essences. Nous avons utilisé des modèles statistiques Bayésiens des données d'abondance et de richesse de groupes écologiques, définis sur la base du statut successionnel des espèces ou de leur tolérance à l'ombrage. Les distributions de probabilités utilisées dans les modèles sont nouvelles en écologie. Nous avons étudié la magnitude des effets avec des tests d'équivalence. 49 placettes adultes situées dans la région IFN de la Brie Francilienne ont été étudiées. Sur notre jeu de données, les indicateurs basés sur la richesse en genres ou la dominance étaient plus mauvais que les indicateurs basés sur l'abondance des genres d'essences. La magnitude des effets et l'identité du meilleur modèle indicateur variaient d'un groupe écologique à l'autre. Nos résultats montrent par ailleurs l'influence négative de la surface terrière des essences de demi-ombre sur le recouvrement de tous les groupes écologiques d'herbacées et de ligneux et sur la richesse des groupes non-forestiers et péri-forestiers de ligneux et d'herbacées. Comparé aux études du même genre, notre échantillonnage contrôlait fortement le type de station, éliminant ainsi partiellement la confusion potentielle entre les influences de la gestion et du type de station sur la biodiversité. / Two different Biodiversity indicators based on tree species diversity are being used, in Europe and France respectively, without strong prior scientific validation: (1) tree species or genus richness as a positive indicator, and (2) relative abundance of the main species (dominance') as a negative indicator. We tested the relevance of these ecological models as indicators of understory vegetation Biodiversity by comparing them to other ecological models, mainly related to tree species composition and abundance. We developed Bayesian statistical models for richness and abundance of ecological groups of understory vegetation species, classified according to successional status or shade tolerance. The count data probability distributions in the models were new to ecology. These models were fitted using data from 49 plots in mature lowland forests in the center of France (Bassin Parisien) with similar site conditions. We used equivalence and inequivalence tests to detect negligible and non-negligible effects. Tree genus richness and dominance resulted in models that were worse than ones based on the abundance of tree genus groups. Furthermore, the only significant results for dominance and tree genus richness were opposite to the ones implicitly assumed in the indicator system. However, the magnitude of the effects and which indicator provided the best statistical model varied among ecological groups of plants. Our results show the negative non-negligible effect of the basal area of undergrowth tree species on the cover of all ecological groups of herbaceous and woody species, and on the species richness of non-forest and peri-forest herbaceous and woody species. Compared to the literature, our sampling design strongly controlled forest and site type, thus removing to some degree the potential confusion between influences on Biodiversity of management specific variables and other ecological variables. We discuss our results from both an ecological perspective and in terms of the value of these models as indicators of sustainable management. For example, the best-performing model was a multivariate model, which may be more difficult to explain to forest managers or policy-makers than an indicator simply based on tree genus richness.

R. Chevalier - One of the best experts on this subject based on the ideXlab platform.

  • Improving Biodiversity indicators of sustainable forest management: Tree genus abundance rather than tree genus richness and dominance for understory vegetation in French lowland oak hornbeam forests
    Forest Ecology and Management, 2009
    Co-Authors: S. Barbier, L. Berges, R. Chevalier, P. Loussot, F. Gosselin
    Abstract:

    Deux indicateurs de biodiversité associés à la diversité du peuplement arboré sont utilisés en France et en Europe, en l'absence de validation scientifique forte: (1) la richesse en essences ou en genres d'essences, comme un indicateur positif; et (2) l'abondance relative de l'essence dominante ("dominance") comme un indicateur négatif. Nous avons testé le caractère indicateur de ces indicateurs vis-à-vis de la biodiversité floristique du sous-bois, en les comparant à d'autres modèles écologiques, principalement associés à la composition et l'abondance des essences. Nous avons utilisé des modèles statistiques Bayésiens des données d'abondance et de richesse de groupes écologiques, définis sur la base du statut successionnel des espèces ou de leur tolérance à l'ombrage. Les distributions de probabilités utilisées dans les modèles sont nouvelles en écologie. Nous avons étudié la magnitude des effets avec des tests d'équivalence. 49 placettes adultes situées dans la région IFN de la Brie Francilienne ont été étudiées. Sur notre jeu de données, les indicateurs basés sur la richesse en genres ou la dominance étaient plus mauvais que les indicateurs basés sur l'abondance des genres d'essences. La magnitude des effets et l'identité du meilleur modèle indicateur variaient d'un groupe écologique à l'autre. Nos résultats montrent par ailleurs l'influence négative de la surface terrière des essences de demi-ombre sur le recouvrement de tous les groupes écologiques d'herbacées et de ligneux et sur la richesse des groupes non-forestiers et péri-forestiers de ligneux et d'herbacées. Comparé aux études du même genre, notre échantillonnage contrôlait fortement le type de station, éliminant ainsi partiellement la confusion potentielle entre les influences de la gestion et du type de station sur la biodiversité. / Two different Biodiversity indicators based on tree species diversity are being used, in Europe and France respectively, without strong prior scientific validation: (1) tree species or genus richness as a positive indicator, and (2) relative abundance of the main species (dominance') as a negative indicator. We tested the relevance of these ecological models as indicators of understory vegetation Biodiversity by comparing them to other ecological models, mainly related to tree species composition and abundance. We developed Bayesian statistical models for richness and abundance of ecological groups of understory vegetation species, classified according to successional status or shade tolerance. The count data probability distributions in the models were new to ecology. These models were fitted using data from 49 plots in mature lowland forests in the center of France (Bassin Parisien) with similar site conditions. We used equivalence and inequivalence tests to detect negligible and non-negligible effects. Tree genus richness and dominance resulted in models that were worse than ones based on the abundance of tree genus groups. Furthermore, the only significant results for dominance and tree genus richness were opposite to the ones implicitly assumed in the indicator system. However, the magnitude of the effects and which indicator provided the best statistical model varied among ecological groups of plants. Our results show the negative non-negligible effect of the basal area of undergrowth tree species on the cover of all ecological groups of herbaceous and woody species, and on the species richness of non-forest and peri-forest herbaceous and woody species. Compared to the literature, our sampling design strongly controlled forest and site type, thus removing to some degree the potential confusion between influences on Biodiversity of management specific variables and other ecological variables. We discuss our results from both an ecological perspective and in terms of the value of these models as indicators of sustainable management. For example, the best-performing model was a multivariate model, which may be more difficult to explain to forest managers or policy-makers than an indicator simply based on tree genus richness.

P. Loussot - One of the best experts on this subject based on the ideXlab platform.

  • Improving Biodiversity indicators of sustainable forest management: Tree genus abundance rather than tree genus richness and dominance for understory vegetation in French lowland oak hornbeam forests
    Forest Ecology and Management, 2009
    Co-Authors: S. Barbier, L. Berges, R. Chevalier, P. Loussot, F. Gosselin
    Abstract:

    Deux indicateurs de biodiversité associés à la diversité du peuplement arboré sont utilisés en France et en Europe, en l'absence de validation scientifique forte: (1) la richesse en essences ou en genres d'essences, comme un indicateur positif; et (2) l'abondance relative de l'essence dominante ("dominance") comme un indicateur négatif. Nous avons testé le caractère indicateur de ces indicateurs vis-à-vis de la biodiversité floristique du sous-bois, en les comparant à d'autres modèles écologiques, principalement associés à la composition et l'abondance des essences. Nous avons utilisé des modèles statistiques Bayésiens des données d'abondance et de richesse de groupes écologiques, définis sur la base du statut successionnel des espèces ou de leur tolérance à l'ombrage. Les distributions de probabilités utilisées dans les modèles sont nouvelles en écologie. Nous avons étudié la magnitude des effets avec des tests d'équivalence. 49 placettes adultes situées dans la région IFN de la Brie Francilienne ont été étudiées. Sur notre jeu de données, les indicateurs basés sur la richesse en genres ou la dominance étaient plus mauvais que les indicateurs basés sur l'abondance des genres d'essences. La magnitude des effets et l'identité du meilleur modèle indicateur variaient d'un groupe écologique à l'autre. Nos résultats montrent par ailleurs l'influence négative de la surface terrière des essences de demi-ombre sur le recouvrement de tous les groupes écologiques d'herbacées et de ligneux et sur la richesse des groupes non-forestiers et péri-forestiers de ligneux et d'herbacées. Comparé aux études du même genre, notre échantillonnage contrôlait fortement le type de station, éliminant ainsi partiellement la confusion potentielle entre les influences de la gestion et du type de station sur la biodiversité. / Two different Biodiversity indicators based on tree species diversity are being used, in Europe and France respectively, without strong prior scientific validation: (1) tree species or genus richness as a positive indicator, and (2) relative abundance of the main species (dominance') as a negative indicator. We tested the relevance of these ecological models as indicators of understory vegetation Biodiversity by comparing them to other ecological models, mainly related to tree species composition and abundance. We developed Bayesian statistical models for richness and abundance of ecological groups of understory vegetation species, classified according to successional status or shade tolerance. The count data probability distributions in the models were new to ecology. These models were fitted using data from 49 plots in mature lowland forests in the center of France (Bassin Parisien) with similar site conditions. We used equivalence and inequivalence tests to detect negligible and non-negligible effects. Tree genus richness and dominance resulted in models that were worse than ones based on the abundance of tree genus groups. Furthermore, the only significant results for dominance and tree genus richness were opposite to the ones implicitly assumed in the indicator system. However, the magnitude of the effects and which indicator provided the best statistical model varied among ecological groups of plants. Our results show the negative non-negligible effect of the basal area of undergrowth tree species on the cover of all ecological groups of herbaceous and woody species, and on the species richness of non-forest and peri-forest herbaceous and woody species. Compared to the literature, our sampling design strongly controlled forest and site type, thus removing to some degree the potential confusion between influences on Biodiversity of management specific variables and other ecological variables. We discuss our results from both an ecological perspective and in terms of the value of these models as indicators of sustainable management. For example, the best-performing model was a multivariate model, which may be more difficult to explain to forest managers or policy-makers than an indicator simply based on tree genus richness.